Interview Laurent MAYER, Art & Financement dans le magazine NEVADART

couverture de magazine Nevadart

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      • Pleine page sous forme d’interview :

     Interview exclusive : Laurent MAYER, fondateur de Art & Financement

    L’art à impact, entre leasing et mécénat – une nouvelle voie pour les entreprises

    NEVADART : Laurent Mayer, vous êtes à l’origine d’Art & Financement, une offre innovante de leasing d’œuvres d’art à impact. Pourquoi ce modèle ?

    Laurent Mayer : L’art est un levier puissant de transformation sociale et culturelle. Avec Art & Financement, nous avons voulu démocratiser l’accès à l’art pour les entreprises, tout en maximisant leur impact fiscal et sociétal. Le leasing permet de financer une œuvre sur 12 à 60 mois, avec des loyers 100 % déductibles des charges, sans plafond. C’est une solution souple, efficace et très compatible avec une stratégie RSE et RCE (Responsabilité Culturelle des Entreprises), c’est pourquoi nous soutenons l’association Art for Good dont la mission est le soutien aux artistes et la promotion de la RCE.

    NEVADART : Comment cela se compare-t-il à la loi mécénat, notamment l’article 238 AB bis du CGI ?

    Laurent Mayer : Le mécénat est un outil formidable, bien qu’en sursis depuis 3 ans déjà, mais surtout, il reste contraint. Il impose que l’artiste soit vivant, que l’œuvre soit exposée au public, et surtout, il plafonne la déduction à 20 000 € ou 0,5 % du chiffre d’affaires. En comparaison, le leasing offre une liberté totale de choix artistique, sans condition d’exposition ni de plafond fiscal. L’entreprise peut bien sûr acquérir l’œuvre en fin de contrat avec une option d’achat à seulement 4 % de la valeur initiale.

    NEVADART : Quel est l’impact réel pour les entreprises ?

    Laurent Mayer : Prenons un exemple concret : une œuvre à 10 000 €. En mécénat, l’entreprise doit payer 10 000€ de suite et l’économie fiscale est limitée à 2 500 € (25 % de réduction sur 10 000 € dans la limite du plafond). En leasing, elle ne paiera que 491 €/mois pendant 24 mois, mais l’artiste est bien sûr payé à 100 % avant la livraison *, les loyers sont intégralement déductibles en charges, ce qui réduit l’assiette fiscale et génère une économie de 25 % sans plafond. C’est donc plus avantageux, plus souple, et plus inclusif. Le leasing est aussi ouvert aux meubles, bijoux, tout objet d’art avec un certificat d’authenticité.
    * on peut même financer une commande spéciale avant la livraison, les bronzes par exemple sont souvent longs et couteux à produire.

    NEVADART : Et l’impact artistique ?

    Laurent Mayer : Nous accompagnons les entreprises dans le choix d’œuvres, souvent engagées et issues de jeunes artistes. C’est une manière de soutenir la création contemporaine tout en affirmant une identité forte. L’art devient un vecteur de sens, pas seulement un actif patrimonial.

    NEVADART : Un dernier mot ?

    Laurent Mayer : Les murs ont des choses à dire, donnons-leur la parole ! L’art ne doit pas être un luxe réservé à quelques-uns. Grâce au leasing, il devient un outil stratégique, accessible et porteur de valeurs. Art & Financement, c’est l’alliance du beau, du juste et du rentable.

     

      • Pleine page leasing sous forme d’article :

       L’art à impact, levier fiscal et culturel :

    Leasing ou mécénat ? Le pari gagnant de Laurent Mayer, fondateur d’Art & Financement

    Dans un contexte où les entreprises cherchent à conjuguer sens, visibilité et optimisation fiscale, une nouvelle voie s’ouvre : le leasing d’œuvres d’art à impact. Laurent Mayer, fondateur d’Art & Financement, nous éclaire sur cette solution innovante qui séduit autant les dirigeants que les artistes et les galeries.

    « Le leasing, c’est l’art qui devient accessible, stratégique et durable », affirme Laurent Mayer. À la croisée des chemins entre investissement, mécénat et engagement culturel, son modèle repose sur une idée simple : permettre aux entreprises et professions libérales d’acquérir des œuvres d’art via des loyers mensuels 100 % déductibles, sans plafond ni condition d’exposition.

    Contrairement au mécénat encadré par l’article 238 AB bis du CGI — qui impose des critères stricts (artiste vivant, œuvre exposée au public, plafond de déduction limité à 20 000 € ou 0,5 % du chiffre d’affaires) — le leasing offre une souplesse inédite. « L’entreprise choisit librement l’œuvre, sans contrainte, et peut même en transférer la propriété au dirigeant en fin de contrat via une option d’achat à 4 % », précise Mayer.

    Mais au-delà de l’avantage fiscal, le leasing devient un outil puissant pour dynamiser le marché de l’art. « Les galeries peuvent enfin proposer des œuvres à des clients professionnels qui hésitaient à investir d’un seul coup. Le leasing lève ce frein psychologique et financier », explique-t-il. Les artistes, eux, bénéficient d’une visibilité accrue et d’un flux de ventes régulier, tout en conservant leur valeur.

    Le modèle séduit particulièrement les professions libérales, les PME et les cabinets qui souhaitent affirmer leur identité à travers des œuvres engagées, souvent issues de la scène contemporaine. « L’art devient un vecteur de sens dans les espaces de travail, un marqueur de valeurs, et un outil de communication », souligne Mayer.

    Et l’impact ne s’arrête pas là. Art & Financement privilégie les œuvres à impact — environnemental, social ou culturel — renforçant ainsi la dimension RSE des entreprises. « C’est une manière de faire du beau, du bien et du rentable », conclut-il.

    Dans un monde en quête de sens, le leasing d’art apparaît comme une réponse élégante, efficace et inclusive. Une révolution douce, portée par la conviction qu’investir dans l’art, c’est investir dans l’avenir.

    Contact :
    Laurent MAYER
    directeur général
    Art & Financement
    mécène de l’association Art for Good
    06 67 49 65 65
    laurent@art-financement.c

    logo art-financement.com/

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